Luis Enrique doit encore se demander comment il a pu rater l’accession en finale de la Ligue des champions en 2024, au terme de sa première saison au PSG. Pour le reste, l’entraîneur asturien est devenu l’assurance pour le club de la capitale de participer à la dernière marche de chaque compétition qu’il dispute : deux finales de Coupe de France (2024, 2025), une finale de Ligue des champions et maintenant une Coupe du monde des clubs. Un quatre sur cinq avec, pour l’instant, trois sacres.
Non seulement, il emmène quasi toujours sa formation en finale mais il ne revient pas les poches vides. Chelsea, son adversaire dimanche (21 heures) en finale du 21e Mondial du genre mais le premier dans ce format élargi, peut commencer à se ventiler. Ses nuits seront chaudes jusqu’au 13 juillet.