À l’autre bout du téléphone, Calogero plante le décor. « C’est incroyable cette chaleur à Paris, on dirait la cuvette de Grenoble. »

En quelques mots, le voilà plongé dans ses souvenirs. Les étés à rallonge du côté d’Échirolles, les 400 coups avec les copains, les soirées à refaire le monde et cette douce sensation d’une vie heureuse dans un quartier populaire où les familles, venues d’horizons différents, se serraient les coudes.

D’aussi loin que remonte sa mémoire, Calogero Maurici – du nom de…