Le parquet du procureur de la République de Grenoble a indiqué ce jeudi en début d’après-midi que « la piste de l’incendie volontaire est privilégiée » après le sinistre qui a détruit ou endommagé plusieurs appartements samedi 5 juillet dans le quartier Hoche à Grenoble.
Selon le parquet, les premières analyses du laboratoire de police scientifique font apparaître la trace d’accélérant de combustible ».
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Du supercarburant retrouvé sur les lieux de l’incendie
Selon les informations du Dauphiné Libéré, l’accélérateur de combustion dont la présence a été révélé par les analyses est du supercarburant -c’est-à-dire de l’essence- dont les traces ont été découvertes sur des gravats calcinés dans le jardin de l’appartement, entre le muret et une porte-fenêtre.
L’appartement où s’est déclaré le feu est celui d’un rabbin officiant à la synagogue de la rue Lazare-Carnot à Grenoble et vit dans le quartier Hoche depuis 40 ans, avec son épouse, directrice de l’école juive « Beth Habad » et leur famille. Le parquet a indiqué par ailleurs ce jeudi qu’ « à ce stade, aucune revendication antisémite n’a eu lieu ».