DÉCRYPTAGE – Balayés par Chelsea dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs, les Parisiens n’avaient pas les ressources mentales ou physiques pour faire mieux.
Paris a trouvé à qui parler. Affamés, les joueurs de Luis Enrique visaient à infliger à Chelsea la même punition qu’à l’Atlético (4-0), au Bayern (2-0) et au Real (4-0) pour grimper sur le toit du monde, après avoir conquis l’Europe. Rien ne semblait pouvoir les arrêter dans leur quête d’une saison immaculée. Surtout pas de jeunes Blues que personne n’imaginait à ce stade de la compétition. Ce qui n’avait pas échappé aux lauréats de la Ligue Europa Conférence. «On sait que beaucoup de gens ont mal parlé de nous et qui ne nous respectaient pas», grince l’ex-Lyonnais Malo Gusto, affirmant que Chelsea «avait l’intention de tuer (les Parisiens) sur leurs faiblesses». C’est exactement ce qui est arrivé. Car oui, les Rouge et Bleu ont des faiblesses, ils sont humains après tout, et ils ont failli au MetLife Stadium (3-0), près de New York. «Ils ont été meilleurs que nous», résume Luis Enrique avec lucidité.
La lucidité, c’est pourtant ce qui a manqué au coach parisien après le coup de sifflet…
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