« Si la salle ferme, toutes ces injections auront lieu dans la rue, sans parler des infections ou des overdoses qui vont se multiplier », prédit le docteur Élisabeth Avril, la directrice de ce lieu, géré par l’association Gaïa. Un scénario qui pourrait se produire dès le 1er janvier 2026. Car depuis 2016, cette structure ainsi qu’une autre à Strasbourg sont en phase d’expérimentation. Un test, déjà repoussé une première fois en 2021, qui doit s’achever le 31 décembre 2025.