Mardi soir, l’animatrice de 58 ans, proche de l’homme en noir, était invitée sur le plateau du présentateur de «Secrets d’histoire» sur France 2. Des tensions sont apparues.
«Le 14 juillet ! Quelle ironie de l’histoire pour celui qui se présentait comme royaliste. Thierry Ardisson nous a quittés», entame Stéphane Bern . Le Monsieur Patrimoine a présenté la soirée hommage à l’animateur de «Tout le monde en parle», en direct sur France 2, ce mardi 15 juillet. Au programme ? Une table ronde avec quelques proches de «l’homme en noir», le DJ Philippe Corti, la productrice Marie-France Brière ou encore l’animatrice Maïtena Biraben . L’occasion de revoir les images les plus marquantes de l’homme en noir, décédé la veille.
Seulement, au cours de ce direct, Stéphane Bern et Maïtena Biraben ont rencontré quelques difficultés à se comprendre. Tout a commencé avec la bourde du présentateur de «Secrets d’Histoire», au moment de présenter l’animatrice de 58 ans.
«Ce qui est drôle, c’est la transmission, Maïtena Biraben, c’est lui qui vous a mise à la télé», déclare Stéphane Bern avant de se faire couper par la principale intéressée qui éclate alors de rire avant d’expliquer : «À chaque fois qu’il (Thierry Ardisson, NDLR) disait ça je lui disais :“Tu ne peux pas dire ça !”. Ça faisait déjà 10 ans que je faisais de la télévision, donc non», recadre l’ancienne animatrice du «Grand Journal» de Canal+. Puis le présentateur de répondre ironiquement : «En Suisse romande ?»
À lire aussi
«C’est génial de pouvoir changer d’avis» : Maïtena Biraben réagit à l’arrivée de Léa Salamé au 20 heures de France 2
Une interrogation qui a perturbé l’animatrice puisque, les yeux écarquillés, elle s’insurge : «Ce n’est pas de la télé en Suisse romande ? Je rêve !» Une boulette rattrapée par l’animateur avec le sourire : «Si, si, non mais pour les téléspectateurs français». Pour que Maïtena Biraben affirme finalement : «Je suis arrivée en France avec Thierry, absolument».
La gêne entre les deux aurait pu s’arrêter à ce début de soirée, si, vers 22 heures, Stéphane Bern n’avait pas commis une nouvelle bourde : «Je vous vois regarder Léa, toutes ces images avec une certaine nostalgie, évidemment». Sauf qu’il s’adressait à Maïtena Biraben et non Léa Salamé (en duplex néanmoins). La quinquagénaire corrige immédiatement tout en ironisant : «Alors moi, c’est Maïtena, et je regarde ça avec joie, mais ça me va très bien qu’on m’appelle Léa, que j’embrasse».
Pluie d’hommage
Léa Salamé était bel et bien présente pour cette soirée hommage, mais en duplex. La prochaine présentatrice du «20 Heures» sur la Deux a tenu à adresser un message à l’homme en noir et sa femme : «Thierry Ardisson, je l’ai reçu souvent, à la télé, à la radio, mais je ne le connaissais pas bien. En revanche, j’ai été marquée par le fait qu’elle était toujours là (Audrey Crespo-Mara , NDLR). Je dois dire que j’ai été bouleversée, comme tous ceux qui les ont vus ensemble. Au bout de 15 ans d’amour, par cet amour fou qu’il avait pour elle, qu’elle avait pour lui aussi. Il fallait voir comment Ardisson regardait sa femme, c’était très beau à voir. J’ai rarement vu un homme qui regardait une femme avec autant d’amour. Il n’écoutait qu’elle».
À lire aussi
«Mes derniers mots sont pour toi» : très émue, Léa Salamé fait ses adieux à la matinale de France Inter
Une soirée également marquée par l’émouvant hommage vidéo du fidèle acolyte du présentateur de «Salut les Terriens !», Laurent Baffie : «C’est vrai ce qu’il dit Brassens, dans 100 ans tu nous manqueras encore. En tout cas là tu nous manques énormément, à Audrey, aux enfants, à tous tes amis, et tous les gens qui ont aimé tes émissions et ta liberté. Là je sais que ce soir, France 2 te rend hommage. Je suis sûr que ça doit te faire très, très plaisir, et te connaissant ça doit te faire marrer aussi. Voilà, petit message, puisque tu es là-haut, dis aux gens que je remercie le ciel d’avoir croisé ta route. Voilà, merci Thierry».
Les deux heures d’hommage se sont finalement terminées par les larmes d’un autre ami fidèle de Thierry Ardisson, le DJ Philippe Corti.