Ce week-end du 12 avril 2025, il y a Paris-Roubaix mais aussi Clermont-Ferrand. Dans un autre style, sans doute moins professionnel, 150 coureurs cyclistes ont participé à une épreuve au sommet : 200 mètres de montée avec un final à plus de 20%.

« Le final est chaud » souffle à de ses participants à l’arrivée : « Je suis complètement arraché, c’est totalement inadapté pour la pratique que j’ai, mais c’est top », juge-t-il après l’effort.

Au cours de l’événement bon enfant, on retrouve aussi de la musique, des déguisements en tout genre et une ambiance de supporters digne d’un virage de l’Alpe d’Huez durant le Tour de France. Ils étaient 150 participants de 8 à 78 ans et tous avec une science de la course très pointue : « La stratégie c’est à fond au début, à fond au milieu et à fond à la fin » analyse l’un deux.

  • Quand Obélix soutient son compagnon Asterix, à vélo gravissant la montée infernale de Clermont-Ferrand

    Crédits : Alex MARTIN / AFP

  • « La montée infernale » de Clermont-Ferrand n’a pas d’âge

    Crédits : Alex MARTIN / AFP

  • La « montée infernale » de Clermont-Ferrand porte bien son nom.

    Crédits : Alex MARTIN / AFP

  • La montée infernale de Clermont-Ferrand à monocycle, encore plus difficile.

    Crédits : Alex MARTIN / AFP

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« Ça faisait 10 ans que j’habitais le quartier et je me disais, cette belle pente, j’aurais envie d’organiser une course« , raconte à l’AFP Pierre-Henri Malartre, 47 ans, coorganisateur d’une course insolite qui n’en est qu’à sa seconde édition.

Le gagnant a mis une vingtaine de secondes pour endurer la montée infernale de Clermont-Ferrand et tous ici sont bien décidés à recommencer l’année prochaine.

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