Confronté à une dette massive et à un désengagement progressif des banques françaises, le groupe phocéen avait sollicité dès mars l’ouverture d’une procédure de sauvegarde accélérée. Cet outil juridique, réservé aux entreprises capables d’obtenir un accord rapide avec leurs créanciers, permet de restructurer la dette dans un cadre sécurisé et limité dans le temps (quatre mois maximum, renouvelables une fois).