Ce jeudi 17 juillet fut une première étape de montagne très compliquée pour les coureurs de cette 112e édition du Tour de France. Entre chaleur et vitesse, certains leaders ont été distancés assez rapidement. À l’arrivée, c’est presque comme toujours le champion du monde, Tadej Pogacar (UAE Team Emirates-XRG), qui s’impose, remportant sa 102e victoire professionnelle et devançant son rival Jonas Vingegaard (Team Visma | Lease a Bike) et l’Allemand Florian Lipowitz (Red Bull-BORA-Hansgrohe). Présent dans l’énorme échappée du jour composée de plus de 50 coureurs, Julian Alaphilippe (Tudor Pro Cycling Team) a roulé pour son leader Michael Storer (Tudor Pro Cycling Team), présent également dans l’échappée. L’ancien double champion du monde nous raconte, à notre micro de Cyclism’Actu, son étape et la suite de son Tour de France.
« J’ai fait la montée avec Mathieu Van der Poel derrière le gruppetto… »
« C’était une journée rapide, un peu comme depuis le début du Tour. Personnellement, j’ai donné le maximum. On voulait vraiment être dans l’échappée aujourd’hui avec Michael Storer, et en plus de ça, il y avait Matteo [Trentin], Marc [Hirschi] et moi, donc c’était parfait. Après, voilà, on n’a jamais pris trop de temps et… après je sais pas ce qui s’est passé. Hautacam, je me rends pas compte. C’est dur, mais ça fait du bien d’être autant encouragé. J’ai fait la montée avec Mathieu Van der Poel derrière le gruppetto, et c’était chouette. Maintenant, bien récupérer pour les autres jours. Demain, chrono, et puis il y a encore de belles choses à faire. Ça fait chaud au cœur d’être autant supporté sur le bord des routes », conclut Julian Alaphilippe, à notre micro de Cyclism’Actu.
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