Celles et ceux qui suivent Ana Godefroy sur les réseaux sociaux savent à quel point sa vie n’est pas un long fleuve tranquille. L’humoriste, qui rassemble 443 000 abonnés, raconte avec beaucoup d’autodérision les tuiles qui lui tombent dessus, il faut le dire, relativement souvent.
L’une des dernières en date concerne notre belle région. Et pas forcément pour des bonnes raisons. « Un mec m’envoie un message pour savoir si je passe bientôt dans sa ville. Je lui réponds gentiment “oui, le 22 mai 2026” et donc, naturellement, pour me remercier, il m’envoie une dickpic : sa grosse zigounette en pièce jointe, son service trois pièces en HD », raconte Ana avec le sens de la formule qui la caractérise.
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Ce charmant internaute, nous informe la jeune femme, s’appelle Jérôme et vient de… Besançon ! Paie ta réputation ! Alors, cher Jérôme, sache que tu nous fous carrément la honte ! À quel moment as-tu pensé qu’envoyer une photo de ton chibre à une femme que tu ne connais pas, sans qu’elle n’ait rien demandé, est une bonne idée ? Quel cheminement s’est opéré dans ton cerveau (si tant est qu’il y en ait un) pour te conduire à sortir ton téléphone, prendre en photo ton pénis et appuyer sur envoyer ? As-tu réellement pensé : « Tiens, mon poireau est tellement beau qu’elle va forcément craquer ? ». Dans la réalité, Jérôme, ça s’appelle du cyberflashing et c’est, depuis 2024, une infraction pénale au niveau européen. Soutien à toi Godefroy. Non, tous les Bisontins ne sont pas tous aussi lourds. Rendez-vous au Scénacle, en 2026. Sans « Jéjé la triquasse ».