« Le Phoenix est un oiseau qui renaît de ses cendres. » Marie Vainjac, et son mari Pascal, ont tenu 20 ans le restaurant bar éponyme, situé en face de la gare de Saint-Chamond. À l’heure de passer la main, Marie retrace cette aventure, depuis la terrasse ensoleillée de l’établissement, ouvert en 2006 : « C’est un défi qu’on s’était lancé à deux. C’était aussi une renaissance pour nous. On s’est mis à notre compte et on s’est épanoui. Notre affaire, c’est le reflet de notre caractère. »
Naturellement, on y trouvait une cuisine traditionnelle généreuse, « faite maison » et surtout une relation étroite avec leurs clients. « Nos assiettes étaient généreuses, il ne fallait pas avoir mangé le matin pour venir déjeuner ici », sourit Marie.
Le « one man show » de Pascal dès le matin
« Les clients venaient chez Marie et Pascal, comme à la maison ! Pascal sortait de sa cuisine pour aller voir les clients, il était très à l’écoute. Ça plaisait. On se donne beaucoup de peine dans notre métier….