Après Alien, c’est au tour de  Predator de s’offrir une résurrection sur le grand écran. Si le xénomorphe de Ridley Scott n’avait pas montré le bout de son nez depuis 2017, l’extraterrestre imaginé par John McTiernan s’était fait moins discret. En 2022, Prey avait dépoussiéré la saga avec son approche inédite mais n’avait pas pu profiter du grand écran pour faire son oeuvre. Il avait été proposé directement en streaming via Disney+.

Cela n’avait pas empêché la presse et le public d’exprimer son enthousiasme certain à l’égard de la copie de Dan Trachtenberg. 20th Century Studios mise plus que jamais sur ces estampilles incontournables, d’Alien à La Planète des Singes en passant par Avatar. Depuis son entrée au capital de la Walt Disney Company, le studio se lance dans la production de suites et prequels qui ne manquent pas d’intérêt.

La peur change de camps

Encore un projet à ne pas manquer ? On serait tenté de dire que oui. L’histoire promet déjà d’être très différente de ce qui a été proposé par le passé. Dans un futur lointain sur une planète qui l’est tout autant, un jeune Predator est exclu de son clan et croire la route d’une androïde au caractère bien trempé. Avec Thia, il entreprend un voyage en territoire hostile et découvrir qu’ici, il n’est pas le prédateur… mais la proie.


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Elle Fanning campera Thia face à Dimitrius Schuster-Koloamatangi. Daniel Trachtenberg est à la réalisation et la production. La distribution devrait être réduite à peau de chagrin, le projet évoluant principalement dans un milieu hostile avec des créatures numériques pour seuls habitants.

Le rendez-vous est pris pour le 5 novembre prochain au cinéma. Quelques mois après la bonne surprise Predator : Killers of Killers, la franchise pourrait être sur le point de faire un retour en force et prouver que Disney a eu le nez fin en faisant revenir les célèbres estampilles de la 20th Century Fox sur le devant de la scène. Si La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume n’a pas été le raz de marée escompté, au regard de son budget conséquent, ce film produit à moindre coût (100 millions selon les estimations) pourrait suivre la trajectoire de Romulus et s’imposer comme la suite que personne n’attendait… mais qui finalement ne déplaît pas.

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