Le grand oral.
Dans un long entretien accordé à L’Équipe, Roberto De Zerbi, l’entraîneur de l’Olympique de Marseille, a commencé par clamer son amour pour le club phocéen : « Marseille est l’endroit idéal pour moi, la ville, la passion pour le foot, c’est fait pour moi, a assuré le technicien italien. Je peux le dire avec fierté, parce que c’est la vérité, l’OM, je l’ai voulu très fort. Je suis né en 1979, je suivais le foot au début des années 90, et je me souviens très bien de l’OM de la finale de Ligue des champions (1991 et 1993), de l’OM de (Chris) Waddle, qui est le joueur qui m’a attaché à ce club. Quand j’avais Max Lopez à Sassuolo, on parlait toujours de Marseille. Je voulais ce club parce qu’il m’est très similaire dans la conception du foot. Il vit pour le foot, il vit d’excès, de hauts et de bas. »
« Je ne dis pas que le PSG est plus grand que l’OM »
Le premier entraîneur de l’OM à avoir enchaîné deux saisons consécutives sur le banc en cinq ans est ensuite revenu sur la pression pour ses joueurs de jouer au Vélodrome avant de revenir sur la rivalité entre l’OM et le PSG : « Nous voulons rivaliser avec Paris mieux que ce que nous avons fait la saison dernière. Je ne dis pas que le PSG est plus grand que l’OM. Je dis qu’ils ont eu jusqu’à maintenant plus de force que l’OM. Ce n’est pas moi qui le dis, a pointé De Zerbi. Le Classico, c’est Juve-Inter, sur dix rencontres, quatre victoires de l’Inter, cinq de la Juve, et un nul. Le Classique, PSG-OM, sur 23 matches, 19 victoires de Paris, 3 nuls et une victoire de l’OM »
Factuel.
L’Olympique de Marseille accroché par un club belge