Après avoir parcouru le monde, de l’Ouganda au Panama en passant par les Philippines, pour mener des projets en agronomie tropicale, puis un retour en France avec d’autres projets en agronomie urbaine, Emeric Duclaux a voulu se reconnecter à la campagne. Il a d’abord cherché un terrain dans la région qui l’a vue grandir, du côté du Bugey dans l’Ain.

Prévoir de bonnes chaussures pour la petite grimpette jusqu’aux serres

Et puis, il y a cinq ans, c’est finalement en Haute-Loire qu’il a trouvé son bonheur : 5 hectares pour cultiver des fruits rouges à « Riouffreyt », un petit hameau entre Rosières et Le Pertuis.

Dans cette ferme biologique, son prédécesseur en produisait déjà : « Ce qui m’a plus c’est sa taille humaine. À 1 000 mètres d’altitude. Des…