Business AMpar Business AM
publié le lundi 21 juillet 2025 à 21:45 •
2 min de lecture

Principaux renseingnements

  • L’UE envisage d’utiliser un instrument anti-coercition contre les services et les industries américains.
  • Les menaces tarifaires du président Trump compliquent les négociations commerciales entre l’UE et les États-Unis.
  • La levée des droits de douane existants semble peu probable, ce qui amène l’UE à envisager une mesure très forte et radicale.

Les tensions commerciales entre l’UE et les États-Unis s’intensifient à mesure que les négociations s’enlisent. L’UE explore des contre-mesures plus larges contre les États-Unis, en utilisant potentiellement un instrument « anti-coercition » pour cibler les services et les industries américains. Cette réaction découle des menaces tarifaires du président Trump, qui ont compliqué des négociations commerciales déjà difficiles. Le commissaire européen au commerce, Maros Sefcovic, a reconnu la nature difficile de ces discussions avec ses homologues américains.

Incertitude

Initialement, un accord semblait à portée de main, où les droits de douane américains de 10 pour cent sur la plupart des exportations resteraient en place avec quelques concessions.

Cependant, la menace du président Trump d’imposer des droits de douane de 30 pour cent au 1er août a considérablement réduit les espoirs d’un accord. Après des négociations non concluantes entre le commissaire Sefcovic et les fonctionnaires américains à Washington, la voie à suivre reste incertaine.

Mesures drastiques

La perspective de lever les droits de douane existants sur l’acier, l’aluminium, les voitures et les pièces détachées semble peu probable. Par conséquent, l’UE envisage de plus en plus de recourir à son instrument de coercition, une mesure généralement réservée à des circonstances exceptionnelles, comme l’a souligné la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

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