Le 9 juin, Mamadou Sarr paraphait un contrat longue durée – jusqu’en 2033 pour un transfert estimé entre 14 et 20 millions d’euros selon les sources – avec Chelsea, juste à temps pour pouvoir embarquer dans le vol des Blues vers l’Amérique.
Cinq semaines plus tard, le défenseur formé à l’Olympique Lyonnais rentrait à Londres auréolé d’un premier titre prestigieux, la Coupe du monde des clubs remportée aux dépens du Paris Saint-Germain (3-0), mais aussi avec la certitude que son heure de gloire en Angleterre n’était pas encore venue.
Aux États-Unis, le coach Enzo Maresca ne lui a offert que huit minutes de jeu, en bout de match de poules contre l’Espérance Tunis (3-0). Le reste du temps, le jeune défenseur a ciré le banc de touche et pu mesurer le chemin qu’il lui reste…