Le président américain évoque comme argument les «tendances anti-américaines et anti-israéliennes de l’Organisation des Nations unies ainsi que son programme woke»
Donald Trump avait déjà retiré son pays de l’Unesco en 2017, lors de son premier mandat. Les États-Unis ont annoncé mardi leur retrait de l’Unesco, organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. « La poursuite de la participation des États-Unis à l’Unesco n’est pas dans l’intérêt national », a déclaré dans un communiqué la porte-parole du département d’État, Tammy Bruce, estimant que l’agence fait preuve de parti pris contre Israël et promeut des causes « clivantes ».
L’annonce n’est pas exactement une surprise car Donald Trump avait expliqué, durant la dernière campagne présidentielle, qu’il entendait retirer son pays de l’organisation en cas de victoire. EN 2017, déjà, le président américain avait ordonné un tel retrait ; son successeur, Joe Biden, avait lui rejoint l’organisation en juin 2023.
« Si regrettable qu’elle soit, cette annonce était attendue et l’Unesco s’y est préparée », a déclaré mardi la directrice de l’Unesco Audrey Azoulay dans un communiqué.
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