Depuis l’arrivée au pouvoir de Friedrich Merz outre-Rhin, la coopération franco-allemande se renforce à un niveau inédit, alors que l’Europe doit faire face à un Donald Trump imprévisible.
Cinq mois après l’élection de Friedrich Merz, le tandem franco-allemand tourne à nouveau à plein régime, sans pour autant éliminer les obstacles dressés sur sa route. Emmanuel Macron sera accueilli mercredi à bras ouverts à Berlin pour sa première visite de travail auprès du chancelier avec pour objectif commun « d’accomplir de grandes choses pour l’Europe », ainsi que l’avait formulé le dirigeant conservateur en février dernier.
Jamais depuis les quatre années du mandat d’Olaf Scholz, la coopération entre les deux voisins n’a été aussi étroite. « Le réflexe franco-allemand a été retrouvé et renouvelé et celui-ci se décline à tous les niveaux ministériels », se félicite l’Élysée, qui salue « la spontanéité des messages » adressés par Friedrich Merz au palais présidentiel. Pas moins de quatre ministres français se sont succédé à Berlin en l’espace d’une semaine, y compris la ministre du Travail et de l’Emploi, dans un domaine où la coopération reste embryonnaire.
Au lendemain…
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