Mardi 15 juillet, Alex Stalenberg, habitant de Piégut-Pluviers, s’exprimait sur son ouvrage « Électron libre ». Il est devenu un libre-penseur, un artiste dont le besoin de s’exprimer est immense.
« Il m’a été demandé d’écrire un livre sur l’art de la pierre et j’ai essayé un livre de monographie, raconte-t-il. Pour les textes, j’étais soutenu par des amis. La préface est de Philippe-Louis Coudray. »
Activité artistique à Paris
C’est dans l’architecture d’espaces collectifs qu’Alex Stalenberg a pleinement déployé son talent. Originaire des Pays-Bas, il est arrivé en France en 1985. Entré en entreprise, il s’est consacré également au bénévolat pendant dix ans. En 1992, il s’est placé au service de la communauté artistique parisienne.
En 1996 à Belleville, il a accompagné l’artiste François Giovangigli au lycée Diderot, fermé depuis 1990, et qui offrait 22 000 mètres carrés d’espace de création.
Il a également été directeur artistique du Pôle Pi, un ancien établissement réaménagé, qui s’inscrit dans la continuité d’autres espaces autogérés.
Un artiste passionné
Ces « SquArts », comme on les appelle alors, proposent des ateliers, dans un contexte parisien marqué par la raréfaction de tels lieux. Toutes les disciplines artistiques y sont représentées. Pour Alex Stalenberg, la pierre et le travail de cette dernière sont plus qu’une passion.
Cette activité représente pour lui un processus reliant la matière à son imagination. Ce sculpteur néerlandais cherche à établir un dialogue entre l’esprit et la matière, et chaque œuvre est conçue selon une approche intuitive.
Contact au 07 84 82 28 25. Son ouvrage est en vente chez lui ou en librairie, au prix de 25 euros.