Résumé

Camille Lellouche a appris que sa chanson sur les violences conjugales avait aidé une fan à porter plainte et à retrouver la force de se battre.

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« Je me suis dit qu’il faut que j’en parle parce que, par rapport à mon parcours, à mon histoire, là où j’en suis aujourd’hui, ça va aider, ça va être utile ». C’est ce que Camille Lellouche avait confié à Guillaume Pley en septembre 2024.

En 2021, sa chanson « N’insiste pas » était sortie dans les bacs et sur les plateformes. On y entendait la chanteuse pleurer en criant à son ex « tu m’as cassé la gueule ». Et, quelques années plus tard, celle qui est depuis devenue maman d’une petite Alma a reçu une belle satisfaction.

Sur Instagram, une fan lui a écrit un message bouleversant. Elle lui a dit : « Bonjour Camille, tu ne liras sans doute pas ce message, mais je voulais te remercier parce qu’en janvier, j’ai réussi à porter plainte pour violences conjugales ».

Sa chanson a sauvé une vie

Cette dernière lui a expliqué : « ta musique ‘N’insiste pas’ m’a suivie et portée pendant toute la procédure ». Et d’ajouter : « Donc merci à toi, continue ce que tu fais, tu ne fais pas que de l’art, tu sauves des vies ».

Camille Lellouche bouleversée : la chanteuse a sauvé une vie

Et c’est pourtant avec réticence que Camille Lellouche avait accepté de parler de cette époque terrible de sa vie. D’abord, c’était à la télévision, dans « Sept à huit » face à Audrey Crespo-Mara.

Camille Lellouche avait expliqué comment à 19 ans, alors qu’elle était en bac pro commerce, en lycée professionnel, elle avait rencontré un homme. D’abord « séducteur, charmeur, très intelligent », un mois plus tard, il était devenu violent.

Elle avait alors subi « les violences psychologiques tous les jours, et physiques tout le temps, trois ou quatre fois par semaine », sans pouvoir partir, jamais.

L’enfer qu’a vécu Camille Lellouche

Le pire était arrivé le jour où elle avait uriné sur elle-même, de peur de mourir sous les coups de son bourreau. Elle avait ensuite dormi dans son pyjama mouillé, sans bouger…

Vingt ans après son calvaire, sa résilience est telle qu’une autre femme n’aura pas à subir plus longtemps ce qu’elle a enduré. Chapeau.

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