C’était la dernière occasion pour les sprinteurs de cette 112e édition du Tour de France de briller. Entre Bollène et Valence, sur une étape de 160,4 km, c’est le Maillot Vert, Jonathan Milan (Lidl-Trek) qui a triomphé dans la capitale de la Drôme, venant à bout de Jordi Meeus (Red Bull BORA-Hansgrohe) et du Danois Tobias Lund Andresen (PicNic PostNL). Contrairement aux grosses cuisses, ce fut une étape un peu plus tranquille pour les leaders qui jouent le classement général. C’est le cas de Florian Lipowitz (Red Bull BORA-Hansgrohe), l’actuel Maillot Blanc de ce Tour, qui reste confortablement sur le podium de la Grande Boucle, à la veille d’une 18e étape qui sera sans aucun doute décisive pour le classement général. L’Allemand de 24 ans s’est exprimé au micro de l’organisation et pense déjà à l’étape reine entre Vif et Courchevel.
« Une journée très mouvementée… »
Le 3e du classement général a su éviter les pièges en direction de Valence. Une étape rendue compliquée avec les conditions climatiques : « Ça a encore été une journée très mouvementée. Je suis content que nous soyons tous restés debout dans l’équipe, et attristé d’apprendre qu’il y a eu autant de chutes. J’espère qu’il n’y a pas de blessures graves. Les montagnes nous attendent maintenant. Les étapes 18 et 19 seront très dures. Je m’attends à ce que Jonas [Vingegaard] et Visma tentent quelque chose, et j’essaierai d’être avec les meilleurs », conclut Florian Lipowitz, au micro de l’organisation.
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