Résumé
Roch Voisine est revenu lors d’un interview sur le revers de médaille qu’a été pour lui son succès : enfermé dans sa chambre d’hôtel pour sa protection, il se sentait isolé et avait du mal à en profiter pleinement.
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Ce 15 avril 2025, Roch Voisine est l’invité d’En aparté, sur Canal +. Et le chanteur de « Hélène » et « Tant pis » est revenu sur ses débuts, avec Nathalie Levy, dans un extrait de l’émission partagé par la chaîne.
La journaliste lui a rappelé comment, après ses tout premiers pas sur scène et dans les bacs, son succès l‘a très vite dépassé.
À propos de la fin des années 80, l’animatrice a lancé : « Je crois qu’à ce moment-là, même si vous passez par les plus grandes salles, vous n’avez pas le staff qui va avec. La sécurité pour assumer ce succès ».
Roch Voisine enfermé de force à l’hôtel
Et Roch Voisine de lui répondre positivement : « ils ont tous appris sur le tas ». De fait, on l’a « verrouillé », pour sa propre protection. En effet, on lui demandait de rester dans sa chambre d’hôtel. Et l’artiste confirme : « Ouais, j’ai passé pas mal d’années, pas mal de mois dans une chambre d’hôtel ».
Roch Voisine se souvient : « Je pense que les gens autour de moi avaient plus de plaisir que je pouvais en avoir ». Et pour cause, dit-il, dans l’impossibilité de profiter : « C’était moyen. Ça a été le côté difficile, j’étais isolé, beaucoup beaucoup ».
Le Canada pas habitué à ce genre de phénomène
En plus, tout ça est arrivé, « par défaut », dit-il. Et ce, « parce qu’on ne savait pas trop comment le faire » assure la star canadienne.
Il révèle ainsi : « C’était jamais arrivé à quelqu’un de chez nous, donc comme je travaillais beaucoup avec les gens de chez moi, ben, ils étaient pas habitués ».
À la différence des Américains, ou encore des Français qui avaient vu Johnny monter en flèche, le Canada n’avait encore jamais connu rien de tel. D’ailleurs, Roch Voisine confie : « ce genre de phénomène là, les gens, ils sont habitués à gérer ces trucs-là ». Par contre, dit-il : « chez nous, ils étaient pas habitués, donc on ne prenait pas de risque. Mais ce n’était pas jojo ».
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