Serge Reggiani l’a chanté: Venise n’est pas en Italie. Non, enfin… pas seulement. Venise est aussi rue Vivienne, Un parfum et une atmosphère inspirés de la Sérénissime.

Tout cela grâce au plus Italien des Parisiens. Massimo Mori mène son restaurant comme un gondolier mène son embarcation. Avec amour, avec passion. Toujours à la barre, jamais à court d’une histoire, toujours affable et souriant. Bref, l’Italien tel qu’on se l’imagine. Il vous reçoit dans un décor signé Starck. Tons de bruns, miroirs vénitiens, lustres et guirlandes de Murano. Jusqu’aux abat-jour imprimés de masques vénitiens. La beauté du lieu vous saisit dès la porte franchie et le ravissement ne s’arrête pas là. La carte réserve de subtils mélanges, après, peut-être, vous être laissé tenter par un cocktail italien pur jus. Entre les cinq sortes de spritz ou le bellini, la décision peut être rude.

Le chef Roberto Bonomo, dans la maison depuis douze ans, propose des plats signatures, des antipasti comme l’araignée de mer décortiquée, céleri vert, sucrine et orange (38 €), le carpaccio de bar aux artichauts violets (34 €) ou les œufs cuits pochés de poules élevées en plein air, crème de prosecco…

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Le Figaro

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