Du haut de ses 76 ans, Patrick Hernandez n’est clairement pas prêt à faire ses adieux à la scène. Pour preuve, après avoir séduit les Français dans les années 1980 avec ses chansons, l’interprète de Born to be Alive a actuellement le plaisir de retrouver son public à l’occasion de la tournée La Folie des années 80. À cette occasion, le chanteur français s’est longuement confié au journal France Dimanche , ce vendredi 25 juillet, sur sa carrière ainsi que sur son quotidien. Un rare entretien au cours duquel il a notamment évoqué ses légers pépins de santé…

Patrick Hernandez se livre sur sa maladie :  » Elle est toujours là mais… « 

Atteint d’une polyarthrite rhumatoïde (maladie inflammatoire et chronique qui touche notamment les articulations), Patrick Hernandez a ainsi évoqué, en toute transparence, cette maladie qui lui a précédemment été diagnostiquée.  » Cette maladie extrêmement grave dont on mourait jadis, on parvient aujourd’hui, grâce à un produit miracle, à en stopper la progression « , a-t-il d’abord avoué, reconnaissant. Mais s’il arrive à  » vivre avec  » cette même maladie, l’artiste s’estime heureux qu’elle ne l’empêche pas de pouvoir faire ce qu’il aime. À savoir, monter sur scène.  » Donc, ça ne va ni mieux ni moins bien, elle est toujours là, mais, à 76 ans, c’est finalement un moindre mal qui ne m’empêche pas de mettre toute mon énergie dans Born to Be Alice depuis vingt ans en ouverture des concerts ! « , a-t-il poursuivi, concluant ainsi son propos sur une note plus légère.

Patrick Hernandez : combien perçoit-il pour son titre Born to be Alive ?

Invité en juin 2023 sur le plateau de Touche pas à mon poste , Patrick Hernandez avait alors fait de rares révélations concernant son titre Born to be Alive. une chanson sortie dans les années 1980 et dont il toucherait, encore aujourd’hui, des royalties.  » On parlait de 1 500 euros par jour « , lui avait alors lancé Isabelle Morini-Bosc. Une estimation que l’artiste avait non seulement confirmée, mais à laquelle il avait apporté d’amples explications, rapportant que cette somme lui versée compte tenu de ses précédents rôles (sur ce titre) en tant qu’auteur,  » compositeur, interprète, éditeur et producteur « . Et d’ajouter, cash :  » Je ne suis pas pour amasser des fortunes. La vie m’a apporté ça et je ne crache pas dessus. Honnêtement, je suis très heureux, encore aujourd’hui, d’interpréter cette chanson. De véhiculer ce message qui est très positif.  » Pour lui, c’est la scène qui compte !

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