Il y a un an, lui comme la plupart des 150 chanceux sur la Seine ce matin était devant sa télévision pour regarder la cérémonie des Jeux olympiques de Paris. « Cette fois, on est à la place des athlètes », sourit Cassandre, l’un des passagères du Waqin, l’un des trente bateaux à naviguer de la Bibliothèque nationale de France (XIIIe) au quartier de Beaugrenelle (XVe), sur les traces de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris.