ARTA – Les États-Unis ont conclu dimanche un accord de cadre commercial avec l’Union européenne, imposant des tarifs d’importation de 15% pour la plupart des biens de l’UE, la moitié du tarif initial et empêchant une guerre commerciale plus approfondie entre les deux alliés qui contrôlent près d’un tiers du commerce mondial.

ont été annoncés par la présidente américaine Donald Trump et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, au champ de golf luxueux du président Trump dans l’ouest de l’Écosse, après une réunion d’une heure qui a poussé l’accord fortement défendu jusqu’à son achèvement.

« Je pense que c’est l’accord le plus important jamais conclu », a déclaré le président Trump aux journalistes, faisant l’éloge du projet de l’Union européenne d’investir environ 600 milliards de dollars dans le pays de l’oncle Sam et d’augmenter considérablement les achats d’énergie et d’équipement militaire américain, a rapporté Reuters le 28 juillet.

Trump a déclaré que l’accord, qui dépasse l’accord de 550 milliards de dollars signé avec le Japon la semaine dernière, étendrait les relations entre les deux puissances transatlantiques après des années de son désaccord avec les exportateurs américains.

Von der Leyen, qui décrit Trump comme un négociateur résistant, a déclaré que le tarif de 15% avait été appliqué « de manière approfondie », a déclaré plus tard aux journalistes qu’il était « le meilleur que nous pouvions obtenir ».

jao: « Nous avons des accords commerciaux entre les deux plus grandes économies du monde, et c’est une grande affaire. C’est une très grande affaire. Cela apportera la stabilité. Cela apportera la prévisibilité », a-t-il déclaré.

, qui, selon le président Trump, exige une achat d’énergie américain de 750 milliards de dollars par l’Union européenne au cours des prochaines années et un achat d’armes d’une valeur de « des centaines de milliards de dollars », est probablement de bonnes nouvelles pour un certain nombre de sociétés européennes, dont Airbus, Mercedes-Benz et java Nordisk, si tous les détails sont appropriés.

de base de 15% sera toujours considéré comme trop élevé par de nombreuses parties en Europe, par rapport aux attentes initiales de l’Europe d’obtenir un accord de tarif zéro à zéro, bien qu’il soit meilleur que le tarif menacé de 30%.

rénal. Cet accord reflète des parties essentielles du cadre de travail d’un accord conclu par les États-Unis avec le Japon la semaine dernière. Cependant, comme dans un accord précédent, l’accord laisse encore de nombreuses questions, y compris les tarifs pour les boissons alcoolisées, un sujet très sensible pour de nombreuses parties sur les deux côtés de l’Atlantique.

Von der Leyen a déclaré que les tarifs s’appliqueraient également aux semi-conducteurs et aux pharmaceutiques, et qu’il n’y aurait pas de tarifs des deux parties pour les avions et leurs pièces, certains produits chimiques, certains génériques, certains équipements semi-conducteurs, certains produits agricoles, les ressources naturelles et les matières premières essentielles.

D’autre part, le président Trump semblait avertir que les produits pharmaceutiques ne seraient pas couverts, soulevant ainsi plusieurs questions sur les aspects de l’accord. La Maison Blanche n’a pas publié d’un dossier.

J’aimerais bien penser que « Nous continuerons à ajouter plus de produits à cette liste », a déclaré Von der Leyen, ajoutant que les boissons alcoolisées sont encore au stade de la discussion.

Trump se vendra en victoire, qui cherche à réglementer l’économie mondiale et à réduire le déficit commercial américain qui dure depuis des décennies et a atteint des accords de cadre similaires avec le Royaume-Uni, le Japon, l’Indonésie et le Vietnam, bien que son gouvernement n’ait pas atteint l’objectif de « 90 accords en 90 jours ».

on le sait, le président Trump a précédemment condamné périodiquement l’Union européenne, affirmant que l’Union européenne est « formée pour tromper les États-Unis » en termes de commerce.

Trump a menacé le 12 juillet d’imposer des droits de 30 % sur les importations de l’Union européenne à partir du 1er août, après des semaines de négociations avec les principaux partenaires commerciaux américains n’a pas abouti à un accord commercial global.

rénal. L’Union européenne a mis en place un tarif de représailles de 93 milliards d’euros sur des marchandises américaines sans accord, et le président Trump a répondu à la menace de son tarif de 30%.

ronyme : Plusieurs États membres ont également exhorté le bloc à utiliser sa arme commerciale puissante, un instrument anti-concédent, pour cibler les services américains s’il n’y a pas d’accord.

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