Marc Lavoine est un chanteur qui a marqué plus d’une génération.
Révélé grâce à
son titre “Elle a les yeux revolver”, en 1985,
il reste
aujourd’hui une icône de la chanson française. Mais comme beaucoup
de personnes, le père de quatre enfants a connu une phase beaucoup
plus sombre et a plongé dans l’alcool. Tout
comme Renaud
et Gainsbourg, c’est aujourd’hui un sujet dont il
parle sans tabou. Il l’évoque notamment dans son nouveau livre
“Quand arrivent les chevaux”.

Malgré cette similitude avec les deux autres chanteurs, il
refuse d’être comparé à eux. Il le fait bien savoir.

Marc Lavoine refuse d’être comparé à ces deux artistes.

Si le nouvel ouvrage du
compagnon d’Adriana Karembeu
semble être une autobiographie,
cela reste avant tout un roman. À l »intérieur, il raconte
l’histoire de Marcel, un personnage qui est une réalité fictive,
mais qui a traversé les mêmes épreuves que lui. Invité dans
LEGEND”,
à l’occasion de la sortie de son livre, il précise bien :
“C’est Marcel qui parle”. Alors que l’animateur fait la
liste de tous les travers par lesquels ‘Marcel’ est passé, il
affirme : “Mais Marcel c’est un peu le ‘Mister Renard de Renaud’”.
Visiblement, cette comparaison ne plaît pas à
l’ex de Sarah Poniatowski
: “Ah non, le Gainsbarre
de Gainsbourg et le Renard de Renaud, c’est tout ce que je
déteste
”, lance-t-il alors, avant de préciser :
“C’est quand tu commences à croire que tu deviens le prénommé
de son foulard.”

Pour revenir sur le vécu de Marcel, il explique : “Marcel,
c’est un personnage. Dans cette situation, face à la mort, il lui
arrive ce qui arrive à tout le monde. Soit tu prends de l’alcool,
soit tu te drogues, soit t’es perdu, soit tu veux te suicider, soit
tu déprimes… tous les maux de la société arrivent à cette
personne-là. »

Marc Lavoine rend hommage à sa
mère

Dans ce livre, le père
de Yasmine Lavoine
parle donc de la mort et des conséquences
sur les proches du défunt. Lui-même a été confronté plusieurs fois
à la perte de ses proches. Il a perdu son meilleur ami et
sa maman,
dont les derniers jours ont été très difficiles.
Il avait des liens très forts avec elle.

À travers son roman onirique, il lui rend donc un bel hommage et
parle du deuil. Le
père de famille
explique avoir mis trois semaines à l’écrire et
sept ans à le faire paraître.