Isère : Axoft ouvre une antenne à Grenoble
Axoft, pépite américaine qui développe une solution pour mieux traiter les maladies neurodégénératives, a annoncé avoir ouvert une antenne à Grenoble.
Leur ambition ? Améliorer le diagnostic et le traitement des maladies neurologiques grâce à une interface bidirectionnelle, souple, biocompatible et d’une précision inédite.
L’antenne grenobloise va permettre à Axoft de lancer plusieurs projets précliniques à court terme, de constituer une équipe locale, et d’envisager à moyen terme des essais cliniques ainsi qu’une production partielle dans la région.
« À Grenoble, c’est l’écosystème combiné de deeptech, medtech et la présence de laboratoires de neurosciences et cliniques qui nous a fortement marqués lors des premières visites. À cela s’ajoute la présence de talents dans des domaines très spécifiques aux interfaces homme-machine (IA, semi-conducteurs, robotique chirurgicale…) dans un environnement de travail entrepreneurial à la fois dynamique et géographiquement très dense. C’est l’endroit idéal pour y lancer une antenne », explique Paul Le Floch, confondateur d’Axoft avec Tianyang Ye et le Pr. Jia Liu.
Photo Le Progrès/Joël Philippon
Rhône/Isère : une trentaine de postes à pourvoir à l’aéroport Lyon Saint-Exupéry
Sur la page France Travail consacré à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry, poumon économique de Colombier-Saugnieu, 29 emplois en CDI et CDD, intérim aussi, majoritairement à temps plein, sont proposées.
Dans la plupart des cas, il s’agit de postes dans les boutiques Duty Free du site, comme vendeur ou équipier polyvalent de restauration. Certains hôtels, comme l’Ibis Budget et le Hampton by Hilton, cherchent également des employés. Plus spécifiques : en intérim, des jobs « d’adjoint déclarant en douanes » et de « préparateur de plateaux-repas » pour les avions sont proposés.
Ses emplois sont ouverts aux candidatures alors que l’aéroport espère continuer, cet été, à se rapprocher de ses niveaux de fréquentation d’avant-Covid (11,9 millions de passagers enregistrés en 2019, 10,4 millions en 2024, en hausse de 4,7 % par rapport à 2023).
L’aéroport lyonnais est en particulier porté par les vols low cost, qui pesaient en 2024 pour 52 % du trafic.