RÉCIT – Israël est de plus en plus isolé, y compris aux États-Unis, et doit répondre aux accusations de famine organisée.

Plus que jamais depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, Israël se retrouve le dos au mur. Les accusations d’avoir provoqué un début de famine dans cette région miséreuse sont, en effet, désormais reprises par Donald Trump lui-même. Pour le président américain, les images de famine, notamment d’enfants, diffusées dans le monde sont bien « réelles ». « Il n’est pas possible de simuler tout cela, beaucoup de gens meurent de faim », a-t-il affirmé. Il a également annoncé que les États-Unis allaient prendre les choses en main en « mettant en place des centres alimentaires ou les gens pourront entrer librement, sans limite, nous n’aurons pas de clôture », un projet qui sonne comme un véritable désaveu de la politique menée par Israël. Bon gré, mal gré, Benyamin Netanyahou a dû admettre, en utilisant un euphémisme, que la situation alimentaire à Gaza est « difficile ».

Après la France, la semaine passée, le Royaume-Uni a annoncé, mercredi, son intention de reconnaître…

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Le Figaro

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