Il faut toutefois le reconnaître d’emblée, elles sont de moins en moins. Avec un niveau qui augmente et des sessions d’entraînement qui s’intensifient, la majorité du peloton consacre désormais 100 % de son quotidien au vélo. « On a un emploi du temps hyperchangeant donc être en présentiel est devenu très compliqué. Il y a trois ans, c’était possible mais maintenant, il y a plus de stages, plus de courses, c’est difficile de suivre le rythme », assure Célia Le Mouël.