Ce covoiturage avec Jean-Louis Moncet est paru dans le numéro 2263 d’AUTOhebdo du 13 mai 2020.

Nous vous retrouvons à bord d’une voiture typiquement citadine…

C’est exact. C’est une Mini très fiable grâce à ses pièces BMW. Je l’ai pris la plus légère possible, sans aucune option superflue. Comme le disait Colin Chapman : « Light is right ». J’aurais pu demander une voiture de sport à une connaissance, mais cela aurait manqué d’authenticité. Je ne triche pas, c’est ma voiture de tous les jours pour rouler dans Paris.

Pourquoi prendre du recul en ce début d’année 2020 ?

J’ai fait 40 ans de Formule 1, c’est-à-dire 40 ans de voyages au bout du monde, sans classe Business. C’est beaucoup. De plus, la F1 n’est plus celle que j’ai connue. Ce qui m’agace un tantinet, c’est la médiatisation emmerdante. Avant, tu pouvais taper la causette avec Carlos Reutemann ou Alan Jones, des gars