Il ne fait pas bon être (nouveau) propriétaire à Saint-Étienne. D’après une étude du courtier Meilleurtaux, que révèle ce matin le Parisien et que vous pouvez consulter ici, la capitale de la Loire fait partie des villes où la taxe foncière pèse le plus lourd pour les néopropriétaires.
Selon le rapport, dans plus de 2 tiers des grandes villes françaises (23/32), cet impôt local que payent les ménages qui ont acheté un bien immobilier représente au moins une mensualité de crédit supplémentaire. Si vous habitez Saint-Étienne, « c’est même 3 mois » de plus à assumer, rapporte l’étude.
Encore plus qu’ailleurs en France, la taxe foncière est à prendre en compte, en plus des droits de mutation (ndlr, communément appelés frais de notaire), des potentiels travaux à effectuer et évidemment du prix d’achat, au moment d’emprunter.
Rappelons que la majorité stéphanoise a décidé, en 2024, d’ugmenter les impôts locaux de 15%.