Outre-Atlantique, la situation est également critique. Depuis le début de l’année, les incendies au Canada ont libéré 189 mégatonnes de CO2. L’année en cours se classe ainsi comme la deuxième plus grave en la matière, juste derrière le record de 2023.
La combinaison de la chaleur, de la sécheresse et de vents forts crée un cocktail hautement inflammable. Ces conditions météorologiques, qui favorisent le déclenchement et la propagation rapide des feux en asséchant la végétation, sont exacerbées par le dérèglement climatique d’origine humaine.