Rien que des cercles ? Beaucoup plus en fait. En dissimulant et/ou révélant ses cercles aux couleurs vives derrière une succession de barreaux, Arièle Rozowy finit par les mettre en mouvement. Et en profite, aussi, pour dénoncer les multiples entraves infligées aux femmes.
Art sensible et engagé, bel exemple de l’art cinétique.
Cet art, on ne peut dire qu’il soit bien nouveau. Il date du début du XXe siècle mais il n’a vraiment été mis à l’honneur que dans les années 70. Les années de l’enfance de l’artiste !
Jusqu’au 24 août, du mercredi au samedi (14 h-18 h 30) et dimanche (14 h-18 h). Entrée libre.