Devant le palais de justice de Nantes (Loire-Atlantique), ce jeudi 31 juillet, un poignée de militants est venue soutenir les deux assurés sociaux qui ont saisi le tribunal en référé. Ils font partie des très nombreuses victimes privées de leurs indemnités journalières normalement versées par la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM).

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Depuis la mise en place du logiciel Arpège en Loire-Atlantique et en Vendée, de nombreuses défaillances ont été pointées du doigt. Un collectif Arpège non merci se mobilise pour tenter de défendre les lésés de la CPAM. Certains n’ont pas touché d’indemnités depuis plusieurs mois, mettant en péril leur équilibre financier.

Un premier rassemblement avait eu lieu devant le tribunal nantais, jeudi 26 juin, à l’appel de la CGT. Avant l’assignation en référé de la CPAM par les deux assurés, pour réclamer leur dû, début juillet.