Se réapproprier un stigmate. C’est ce qui guide celles qui, comme Lisa Baillard, ont été traitées de « cagole ». Aujourd’hui, elles revendiquent haut et fort cette part d’elles-mêmes. Depuis 2021, la Marseillaise met à l’honneur les cagoles de sa ville, en montant, tout au long de l’année, les Cagole Nomade Parties.
Avant la tenue, ce vendredi 1er août au théâtre Silvain, du Cagole Paradise Festival, elle distribuait des tracts dans toute la ville, accompagnée par Jeannette, « [son] bras droit », Clara, graphiste, et Christophe, un habitué des soirées.