Ce n’est pas une couverture de magazine, ni un avant/après
spectaculaire sur Instagram qui a motivé
Camille Gottlieb. Si la
fille cadette de la princesse Stéphanie de Monaco a perdu près
de 28 kilos en quelques mois, c’est avant tout
pour elle-même.
Invitée dans un podcast de Monaco Info, la jeune femme de
27 ans a évoqué sans détour son ancienne “surcharge
pondérale”, les remarques blessantes, mais aussi une
phrase simple et lumineuse de sa mère qui l’a aidée à se
reconstruire. “Je n’ai pas eu de déclic magique”,
confie-t-elle dans cet entretien intime.
© Bestimage
Camille Gottlieb revient sur le soutien indéfectible de sa
mère, Stéphanie de Monaco, dans sa perte de poids
La vraie bascule, selon elle, a lieu durant le deuxième
confinement, fin 2020. “J’étais déjà en surcharge pondérale. Et
après le premier confinement, j’avais repris encore plus.”
Mais c’est en observant son meilleur ami Mehdi qu’elle trouve la
motivation. “Il avait grossi aussi, donc on s’est dit qu’on
allait s’y mettre ensemble.”
Tandis que lui suit un régime strict,
Camille Gottlieb, en couple, opte pour un rééquilibrage
alimentaire, loin des privations extrêmes. Un choix qu’elle ne fait
pas seule. Vivant toujours chez sa mère, elle reçoit un soutien
précieux de
Stéphanie de Monaco, bienveillante mais ferme : “Elle a dit
: ‘Maintenant vous allez être sérieux tous les deux, je vais vous
faire à manger moi.’”
« Je me suis fait violence »
Mais derrière la discipline, une phrase l’a marquée. Une phrase
simple, mais puissante, que lui a glissée sa maman,
Stéphanie de Monaco : “De toute façon, que tu fasses 120
kilos, 50 kilos ou 70 kilos, je t’aime quand
même.” Et le changement s’enclenche. “Je
rentrais, je prenais des gressins, un bout de fromage… C’était
automatique.” Peu à peu, Camille Gottlieb réapprend à écouter
son corps, à manger moins. “J’ai réduit mon
estomac, je me suis fait violence pendant des semaines.
J’ai fait zéro sport.”
Et face aux critiques, Camille répond avec une sagesse rare :
“Je me dis que les personnes qui critiquent sont les plus
malheureuses.” À celles qui subissent les jugements, elle
envoie un message clair : “Entre femmes, c’est déjà
compliqué, alors soutenons-nous.”