Un épisode à ne pas rater ! TF1 diffuse ce vendredi le 2000e épisode de sa série quotidienne Demain nous appartient, lancée le 17 juillet 2017. Pour fêter ça, Sylvain (Arnaud Henriet) et Bruno (Kevin Levy) orchestrent une surprise haute en couleur pour Chloé (Ingrid Chauvin) et Alex (Alexandre Brasseur). Entourés de leur tribu, les Delcourt se laissent emporter par une vague de nostalgie, revisitant huit ans de moments inoubliables à travers des flash-back pleins d’émotion. A cette occasion, les deux piliers du feuilleton, Ingrid Chauvin et Alexandre Brasseur, que 20 Minutes a rencontré au Festival de Télévision de Monte-Carlo, ont accepté de se prêter à une interview vieux couple…
Savez-vous depuis combien de temps vos personnages sont ensemble ?
Alexandre Brasseur. Ils avaient 17 ans quand ils se sont rencontrés. Je crois qu’ils ont 45 ans dans la série.
Ingrid Chauvin. C’est ça.
A.B. Je ne suis pas bon en maths par contre.
I.C. Moi non plus, mais en tout cas ça fait très longtemps, ça fait une paye !
Quel est le secret qui fait que leur couple dure malgré toutes les épreuves qu’ils ont traversées ?
I.C. Les épreuves qu’ils ont traversées sont nombreuses, mais je crois qu’ils s’aiment fondamentalement avant tout.
A.B. Oui, ils sont bienveillants l’un envers l’autre. Ils sont très respectueux aussi.
En matière de vie à deux, selon vous, quel est le pire défaut que vos personnages ?
A.B. Moi, je pense qu’un des pires défauts dans le couple, c’est le manque de communication.
I.C. Ça, on est d’accord.
A.B. Alex a cette tumeur, et il n’a pas osé en parler tout de suite et dire : « Tu vois, chérie, je suis malade, j’ai un souci, aide-moi ! » Ce n’est pas récurrent le manque de communication chez Chloé et Alex. Mais comme dans tous les couples, ça arrive quand même.
I.C. Et quand ça arrive, ça fout la merde, elle lui en veut beaucoup.
A l’inverse, quelle est leur principale qualité ?
I.C. Je pense qu’ils sont à l’écoute malgré tout, bienveillants, soudés.
A.B. Et d’ailleurs, moi, j’aime quand ils sont dans un combat commun. C’est ce qu’on vient de faire dans l’intrigue que nous présentons cet été avec Jean-Luc Reichmann.
I.C. Ils sont vraiment ensemble
A.B. Dressés, combatifs, comme au début de la série ! On raconte des histoires, on est nombreux là-dedans. Ça monte, ça descend, c’est un sacré gros paquebot. Mais on y va, on fonce. Et là, on est remontés ensemble, on est combatifs. Et j’adore. C’est un rouleau compresseur, les Delcourt, quand ils arrivent ! On se fait les flics, tout le monde ! On n’a peur de rien, nous. Enfin, dans la série !