Jeffrey Epstein le décrivait comme un « serial sex
addict ».
Le prince Andrew, alias « Randy Andy » (« Andy le
chaud »), surnom dont on l’affublait dans sa jeunesse, traîne
dans son sillage une réputation sulfureuse. D’après nos confrères
du
Daily Mail, près de
1000 femmes auraient batifolé avec lui. « Il s’est tapé
des stars du porno, des actrices, des mannequins, des athlètes, des
femmes politiques et des serveuses dans les clubs », affirme le
journaliste Ian Halperin.
Un ami du prince abonde : « Le sexe occupe
une grande place dans sa vie. Voyager partout dans le
monde en tant qu’ambassadeur commercial du Royaume-Uni et pour
d’autres fonctions royales lui a donné accès à de belles femmes et
il en a pleinement profité ». Peut-être un peu trop…
© Bestimage
Le
prince Andrew, longtemps protégé par Elizabeth II
Elizabeth II : ce scandale provoqué à sa table
Plusieurs témoins approchés par le Daily
Mail mentionnent les pratiques sexuelles
« perverses » du
duc d’York. « Il n’avait aucune limite », certifie une
top-model auprès du tabloïd. Rien ni personne ne semblait pouvoir
contenir ses débordements. Pas même sa famille.
Un ancien employé de Buckingham Palace, Malcolm
Barker, se souvient l’avoir vu ramener les « pires
traînées » à la table de sa mère,
la reine Elizabeth II. Des femmes écervelées, selon lui, qui
avaient pour seul point commun des « grosses
poitrines » dont le paria de la Firme raffolait.
Elizabeth II : qui était son enfant
préféré ?
Les Britanniques ont longtemps cru
qu’Elizabeth II avait donné sa préférence à
Andrew. Le prince s’était d’ailleurs distingué au
lendemain de la mort de son père en offrant à la reine deux bébés
Corgis en guise de consolation. Seulement, un documentaire diffusé
sur Channel 5, The Royal Family At War, contredit cette
croyance tenace.
Plusieurs experts affirment qu’Elizabeth II aurait
noué une relation d’autant plus détendue avec le duc d’York que ce
dernier n’était pas destiné à lui succéder. D’après le biographe
Matthew Dennison, la reine avait davantage d’affection pour
le benjamin de la fratrie. « Le
prince Edward, apparemment un peu arrogant et un tantinet
irritant pour le reste d’entre nous, a toujours été le préféré
de ses parents », peut-on lire dans l’un de ses ouvrages. Une
thèse qui fait encore aujourd’hui débat.