Fervente catholique, Françoise souhaitait être inhumée en Normandie, dans le cimetière de sa commune natale. À la suite d’une incroyable méprise, elle a pourtant été incinérée à Paris, selon Le Parisien.

La cérémonie a eu lieu le 10 juillet dernier, soit 12 jours après le décès survenu le 28 juin. Les proches se rassemblent au célèbre cimetière du Père-Lachaise, dans le 20e arrondissement de la capitale, pour une première cérémonie de recueillement. Le cercueil doit ensuite être transporté en Normandie, pour un enterrement en présence de la famille.

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Une « incompréhension » à l’origine de l’erreur 

D’après Le Parisien, qui s’est fait confirmer l’information par la Ville de Paris comme par Funecap, l’entreprise gestionnaires du crématorium, une « incompréhension » entre deux salariés a abouti à ce que le cercueil soit déposé dans le crématorium – à la place d’un autre. Ensuite, l’absence de vérifications d’usage a conduit un autre salarié à lancer la crémation… alors que le corbillard patientait à l’extérieur. Lorsque celui-ci se rend compte de son erreur, il est trop tard : la crémation a commencé et il est impossible d’ouvrir la porte du four.

Ulcérée, c’est donc munie d’une urne funéraire que la famille a finalement gagné la Normandie. Le patron de Funecap, Xavier Thoumieux, assume « une erreur humaine extrêmement regrettable », et précise que « jamais cet incident ne s’était produit » dans l’un des 60 crématoriums gérés par la société. La Ville de Paris, propriétaire du crématorium, a confirmé les faits et regretté un « incident d’une particulière gravité […] L’acte de crémation a été réalisé en contradiction manifeste avec les procédures en vigueur ». 

>> Lire l’article du Parisien.