Ce samedi matin, la température est idéale pour un entraînement de marathonien et le cadre de l’Orangerie, à Strasbourg, idyllique. N’empêche, Lucas, Julien, Sophie, Tiana et Ismaël en bavent sérieusement dans l’allée centrale, à répéter des accélérations d’une minute rapide, pour 30 secondes de récupération en allure lente.

Au chrono, Gilles Auberger crie les consignes et encourage ces adultes âgés de 24 à 26 ans. La séance de fractionné ne fait que débuter et le week-end s’annonce douloureux. Demain, il faudra enchaîner avec une sortie longue et douce d’une heure trente.

« Je n’aimais pas courir »

À l’exception de Sophie et d’Ismaël, habitués à…