Pourtant, depuis plus de deux ans maintenant, certains disent vivre un enfer. Dans leur viseur, Slimane Beloucif, le gérant de cinq établissements dans cette rue. Arrivé en 2019 en reprenant le Dikkenek, celui qui était jusque-là installé dans la festive rue de Lappe (XIe), n’a pas digéré ni compris voir son « petit » droit de terrasse refusé. « Alors que le précédent gérant en avait une », se souvient-il.