Michel Jonasz est un grand nom de la chanson française et un acteur prolifique… mais pas que ! L’artiste de 78 ans a un autre métier que vous n’auriez pas soupçonné, comme il l’a révélé à « Gala »…

Michel Jonasz a marqué la musique française avec ses nombreux tubes, tels que Je voulais te dire que je t’attends ou Super Nana, et a également joué dans de nombreux films. Mais saviez-vous que le chanteur et acteur de 78 ans avait un autre métier méconnu ? Grâce à cette profession, il apaise les esprits autrement que par la musique…

Michel Jonasz : son autre métier que l’on ne soupçonne pas

Outre la musique, Michel Jonasz a une passion dans la vie : il s’intéresse de très près à tout ce qui a trait au développement personnel et à la spiritualité. En mai 68, alors que ses amis manifestaient pour les droits des étudiants, l’artiste, lui, tentait de changer le monde tout simplement en essayant de se transformer lui-même. « J’avais déjà, sans pouvoir l’analyser, cette idée que le monde est à notre image, qu’il est le reflet de ce que l’on est, de notre conscience, et que travailler sur ce qu’on est peut le changer », a-t-il expliqué auprès de Gala.

« Je lisais des bouquins sur la vie après la mort, j’étais branché sur une recherche plus spirituelle que politique », a-t-il ajouté. Et depuis, l’interprète de Super Nana n’a pas changé de cheval de bataille : « Je pense toujours que le changement commence avec soi ». Alors, en plus d’interpréter, d’écrire et de composer des chansons, Michel Jonasz se consacre également aux ouvrages spirituels : « J’ai créé une société d’édition littéraire, spécialisée dans le développement personnel, la spiritualité : les éditions Michel Jonasz ». Pour choisir les ouvrages qu’il édite, il fonctionne au coup de cœur et n’en sélectionne, en général, qu’un à deux par an.

Michel Jonasz, face à la vin de vie : « Ne plus avoir les moyens physiques ou cérébraux… »

Le chanteur a d’ailleurs lui-même effectué des retraites de yoga et autres séminaires de guérison, comme il l’avait confié au blog Bienheureusement. Mais tout ce travail de développement personnel a-t-il aidé l’artiste septuagénaire à être apaisé face à l’idée de la vieillesse et de la mort ?

S’il n’a pas peur de la fin, il appréhende tout de même un peu les années qui passent et craint notamment « de ne plus avoir les moyens physiques ou cérébraux à la hauteur de son enthousiasme », avait admis à La Tribune du Dimanche le père de Florian, 47 ans, et Hannah, 41 ans.

Toutefois, celui qui refuse d’aller un jour en Ehpad conserve un optimisme impérissable : « Je garde espoir, ma mère a vécu jusqu’à 94 ans avec toute sa tête ! Même si un jour on me diagnostique la maladie de Charcot, par exemple, je continuerai d’y croire. J’essaierai de faire le plus possible un travail d’ordre spirituel. Une chose est sûre, je n’irai pas en Suisse ou en Belgique ».