Après avoir irradié son coach de compli­ments, Andrey Rublev a tenu à rappeler que la rela­tion humaine était évidem­ment primor­diale dans leur colla­bo­ra­tion, mais qu’il devait avant tout compter sur lui‐même.

Le Russe estime que dans sa posi­tion, en jouant le niveau d’un top 10 mondial, plus personne ne peut vrai­ment lui apprendre quoi que ce soit. Il doit donc trouver les solu­tions seul.

« Peu importe le nombre d’en­traî­neurs que vous changez . Ceux qui ont remporté de nombreux Grands Chelems peuvent vous donner des conseils sur ce que vous devez faire pour atteindre un certain niveau. Mais à ce niveau, quand vous êtes dans le top 10, personne ne peut vous apprendre quoi que ce soit. Vous êtes le seul à pouvoir vous aider. C’est vous qui jouez. Donc, si vous cher­chez toujours de l’aide, vous ne progres­serez pas. Je sens que je m’en­traîne bien, que je progresse et que j’ai commencé à le montrer en match. Plus je main­tiens ce niveau, plus j’ai de chances de réussir. »