Réjane Rua, c’est l’espoir. L’espoir que l’on parvienne à traiter demain l’incurable d’aujourd’hui. L’espoir que l’autisme, la schizophrénie ou Alzheimer ne soient plus des fatalités dont on combat les symptômes plutôt que l’origine.
La Marseillaise de 38 ans tente en effet de faire avancer les neurosciences en étudiant le rôle du système immunitaire sur le cerveau, et particulièrement au niveau des méninges.