Ils ont entre 9 et 16 ans et viennent de passer trois semaines à Toulouse (Haute-Garonne) et ses environs. Originaires de Kiev (ou Kyiv), capitale ukrainienne jumelée à la Ville rose, « ils ont tous été touchés par la guerre », nous confie Vera, leur professeur de français qui encadre leur séjour.
« L’un d’eux a ses deux parents au front, par exemple. Souvent, le père est au combat et certains ont perdu un proche », explique-t-elle. Pourtant, en les voyant sortir du planétarium de la Cité de l’espace ce mercredi 6 août après-midi, ils ont tout l’air d’élèves en voyage scolaire.