Indésirable cabanon à churros

A. Creyen, Strasbourg :

« Les DNA ont publié, il y a quelques jours, une magnifique page portant sur la vie et l’œuvre de notre compatriote, Albert Schweitzer, né il y a 150 ans. C’est un bel hommage rendu au prix Nobel de la Paix à cette occasion. La statue d’Albert Schweitzer, inaugurée par la maire de Strasbourg sur la place Saint- Thomas, fait d’ailleurs l’objet d’un passage et d’un arrêt largement commenté par les guides strasbourgeois, avec leurs groupes de touristes.

Malheureusement, depuis maintenant deux ans, la mairie a autorisé une cabane à churros à s’installer à 5 mètres de cette statue, alors que la partie ombragée de la place Saint-Thomas pourrait accueillir ce commerce sans dénaturer les environs. En plus, du matin au soir, de grands sacs-poubelles gris sont déposés à l’extérieur, derrière la cabane, au vu et au su de tous les passants.

C’est vraiment un spectacle affligeant qui est proposé à nos visiteurs. Il est regrettable qu’il n’y ait pas plus de discernement et de respect dans l’attribution des autorisations d’emplacement de food truck.

Ce n’est pas le principe même de ces commerces ambulants qui est remis en cause, car ils font partie de l’animation d’une ville, mais c’est le choix de leur emplacement qui pose problème.

Espérons que ce signalement citoyen ait une réaction positive auprès des services municipaux. »

La contrainte de la carte bancaire

Gabrielle Schwartz, Strasbourg :

« Au supermarché Lidl de Koenigshoffen, depuis ce printemps, il est impossible de régler en espèces aux caisses rapides, avec les difficultés concrètes que cela engendre pour toute personne souhaitant acheter très simplement, très peu de choses. Je donne deux exemples : l’achat d’une boisson ou de deux croissants…

L’acheteur est dorénavant contraint de payer par carte bancaire. Je trouve cela un peu scandaleux pour le confort de la clientèle qui souhaitait payer vite avec deux, trois pièces de monnaie et sortir rapidement du magasin.

La notion « du rapide » est tombée aux oubliettes. Dès lors, il faut sagement attendre avec l’article dans les mains et patienter en faisant la queue aux caisses principales. Bravo ! »