Manuel Noriega après son arrestation, en janvier 1990. 

Manuel Noriega après son arrestation, en janvier 1990.  AP/SIPA

Lire plus tard

Google Actualités

Partager

Facebook

Bluesky

E-mail

Copier le lien

Envoyer

S’abonner pour lire

Pour aller plus loin

L’année où le mur de Berlin s’est effondré, on a pu croire que la pop culture occidentale avait le même pouvoir démolisseur que les trompettes de Jéricho. On l’a même utilisée pour déloger un dictateur – en l’occurrence, le général panaméen Manuel Noriega, placé au pouvoir en 1983 par la CIA, mais vite devenu indésirable aux yeux des Etats-Unis. L’opération militaire s’appelle « Nifty Package » (« colis futé ») et elle porte bien mal son nom, car elle a plutôt suscité les railleries du public. Elle démarre quelques jours avant la Noël 1989.

Bien décidé à se débarrasser de Noriega, qui a le mauvais goût de fricoter avec les ennemis de l’Oncle Sam (les cartels mafieux de Medellin, Cuba, la Libye…) alors qu’il est arrosé de dollars, le président George Bush (père) sort l’artillerie lourde pour le faire arrêter : près de 27 000 soldats son…

Article réservé aux abonnés.

Se connecter

Offre d’été :
1€/mois pendant 6 mois

S’abonner

Découvrir toutes nos offres