Son constat est amer : « un an après les JO, l’héritage social promis lors de cet événement n’est pas du tout perceptible », déplore Charlotte Kwantes, porte-parole d’Utopia 56. Depuis ce mardi soir, l’association a décidé de fermer son centre d’hébergement d’urgence de nuit situé à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) « en raison du manque de réponse de la préfecture en matière d’hébergement d’urgence à Paris ». Depuis plus d’une semaine, environ 200 personnes se présentent chaque soir sur le parvis lors de sa permanence. « On n’arrive plus à accueillir tout le monde », alerte-t-elle.
