En vacances à Saint-Barth pour
fêter ses 17 ans avec sa sœur
Jade et leur mère Laeticia,
Joy Hallyday a posté un cliché d’elle en minibikini sur
Instagram. Une publication anodine en apparence, qui a
pourtant déclenché une vague de commentaires haineux. En quelques
heures, le fil de la publication s’est transformé en déversoir de
critiques sexistes et déplacées.
Certaines réactions ont
carrément franchi la ligne rouge. « J’ai mal pour
Johnny, heureusement qu’il n’est plus là pour voir
ça« , écrit un internaute. Un autre enchaîne :
« Au secours ! Jamais je ne
laisserais ma fille poser ainsi sur les réseaux ! Qu »elle et sa
mère ne se plaignent pas ensuite d’être
harcelées… » Des propos violents, souvent
moralisateurs, parfois ouvertement misogynes, et toujours dirigés
vers une adolescente.
Joy Hallyday en maillot de
bain : les attaques dérapent
Le point de crispation ? Le
côté jugé « sexy » de la photo, et notamment le maillot
porté par Joy. Les remarques s’enchaînent : « Quelle vulgarité ! », « Qu’est-ce que c’est que ces prothèses ? »,
« Johnny doit se
retourner dans sa tombe. » Certains vont jusqu’à
insinuer que la jeune fille aurait eu recours à la
chirurgie esthétique, sans la moindre preuve. Une déferlante de
jugements injustifiés, d’autant plus choquants qu’ils visent une
mineure.
Face à cette violence
numérique, quelques voix s’élèvent pour prendre sa défense.
« Je ne comprendrai jamais que
100% des commentaires critiques proviennent de femmes, et
de tout âge en plus... Pour moi, c’est ça qui est
vulgaire, déplacé et puéril… » commente un follower,
visiblement choqué. Une minorité de messages bienveillants qui
tente de faire contrepoids à l’agressivité ambiante.
Laeticia sort les griffes et contre attaque
Si Joy garde le silence et
continue de profiter de ses vacances dans les Caraïbes, sa mère,
elle, ne compte pas laisser passer. Ce n’est pas la première fois
que
Laeticia Hallyday doit défendre sa fille face aux attaques. En
2022 déjà, elle avait déposé plainte après les propos tenus
par Kelly Vedovelli dans Touche pas à mon poste. À l’époque, la
chroniqueuse n’avait pas mâché ses mots : « C’est le summum de la vulgarité. C’est hyper
vulgaire avec sa langue, sa bouche, ses nichons. Parce que c’est la
nouvelle génération, on a le droit d’être des tepus
? » Résultat : une amende de 50 000 euros
infligée à C8.
“Se
faire insulter, Laeticia a malheureusement l’habitude”, confie
un proche à Public.
“Mais elle ne veut
plus rien laisser passer quand il s’agit de ses filles.
Elles ont déjà bien trop souffert.” Un message clair envoyé
aux détracteurs. Protéger Joy est désormais une priorité. Et même
si la jeune fille garde la tête haute, Laeticia, elle, veille au
grain.